Vous avez envie d’essayer l’aventure inoubliable d’un bivouac (sous tente) dans la neige.
Vous pouvez posez quelques questions à juste titre !
 » Mais on va avoir froid »
« Qu’est-ce qu’on va bien pouvoir faire avant le repas du soir » ?
Ou encore : « Comment va t’on porter tout ça, on mange lyophilisé ? Beurk ! »


 

Un week-end raquettes avec bivouac, c’est avec des pulkas et une tente yourte.

Un week-end avec la nourriture, la tente et les duvets, ça se fait avec des pulkas. Ces traineaux que l’on tire derrière nous, bien évidemment, le terrain sera de type nordique, avec peu de dénivelées.
Le matériel lourd est donc tiré dans les pulkas :
– Caisses de nourriture
– Sacs étanches individualisés avec nos habits,
– Sac de couchage et matelas de sol.

raquettes et bivouac sur Céüse

Le parcours est relativement court

Je vous raconte : En effet, l’itinéraire avec les pulkas est relativement court. En prenant notre temps, nous montons directement au lieu du campement où nous nous installerons tranquillement, en milieu d’après midi en général.
Il s’agit du montage de la tente, nous mettons les affaires à l’abri, une petite boisson, puis nous allons repartir faire un tour, une sortie nocturne. Nous aurons moins froid à marcher qu’à rester immobiles. Et puis, c’est l’occasion de faire des rencontres, soit d’animaux, soit avec la lune !

Raquettes et bivouac

La soirée sous tente

Nous rentrons à la pleine nuit, et avec émerveillement, nous n’avons pas froid, car ce n’est pas le moment le plus froid.
Pourtant, c’est l’occasion rêvée d’un vin chaud, de la préparation d’une raclette sous la tente, qui l’eut crû !?
Si si, il y a aussi les cornichons !

Cette fois-ci nous n’avons pas fait de feu car il y avait trop de neige.
Par contre, pas de feu possible sur le plateau du Vercors car nous somme en réserve naturelle.

 

Raclette en bivouac
la tente en raquettes et bivouac

Le lendemain, des détours sans les pulkas.

Le lendemain, nous attendons que le soleil viennent chauffer un peu la tente, …et nos pieds.
Un petit déjeuner dehors ou à l’abri selon la météo, puis nous voilà partis, il est déjà 11h !

Nous marchons avec les pulkas qui nous suivent toujours, puis au bout d’un moment, notre choix est de les laisser au bas de la pente, cette pente attire notre attention. la neige est poudreuse, légère, là-haut la vue doit être grandiose.
Nous les retrouverons après une échappée en crête et des descentes folles.

Des détours sans les pulkas

Notre aventure touche à sa fin.

Nous retrouverons les pulkas après notre boucle enivrante, puis après un pique nique ce sera la descente du plateau, on se promet qu’on remettra ça !
Dans 2 mois pour certains, dans un an pour d’autres !

Vous voyez, un week-end en raquettes et en bivouac, c’est vivre intensément 2 journées, mais sans forcer pour ceux qui n’en ont pas envie. Les pulkas, nous ne les avons pas toujours, nous gardons l’ivresse des grands espaces, Notre week-end raquettes avec bivouac, est vécu au rythme de nos envies, avec plaisir, grandeur nature !

Demandez votre séjour « à la carte ».

N’hésitez pas à demander la date de vos souhaits, à partir de 3 personnes.

Au plaisir !

Des détours sans les pulkas

Rando facile sur sentier, sans difficulté technique.
100 à 500 mètre de dénivelé positif, 2 à 4h de marche (en comptant les arrêts)

 

Rando sur et hors sentier, aucune grosse difficulté technique.
Le niveau « 1 chaussure » ne vous a pas posé de problème.
500 à 900 mètres de dénivelé positif, 4 à 6h de marche sur plusieurs jours consécutifs

 

Rando soutenue, pour marcheurs réguliers, 6 à 7h de marche.
800 à 1300 mètres de dénivelé (certaines étapes peuvent dépasser 1000m. mais 1 ou 2)
Certains passage « en balcon » ou « hors sentiers » peuvent être plus délicats pour certains, mais pas de difficulté technique.

 

 

 

Rando soutenue pour marcheurs expérimentés, plutôt 7 heures de marche par jour, plusieurs étapes dépassent 1000 mètres de dénivelée positif.
Des passages hors sentiers plus techniques, mais jamais d’escalade !